Le Lait catastrophique !!! : colle, hormones, pus…

 

 

 

 

Robert Cohen, surnommé aux USA, « l’homme anti-lait ». Il a écrit l’un des livres les plus fascinants et les plus documentés sur ce sujet : MILK, The deadly poison ( Le lait, poison mortel )qui a fait grand bruit aux USA (pas encore traduit en français). Dans la dédicace de ce livre qui démonte la propagande du lobby laitier, il s’adresse à « toutes les personnes dans le monde qui souffrent de toutes sortes de troubles de santé sans être conscients de l’origine alimentaire de leurs maux. Il suffit de voyager et d’observer les gens pour constater que dans les pays où les produits laitiers ne sont pas dans la coutume, on ne trouve pratiquement pas de cas de problèmes de calcium osseux, pas de cancers du sein, ni de la prostate.

 

Les bébés

De nombreux bébés sont maintenant violemment allergiques aux laits en poudre pour biberons et les pédiatres font changer de marque… et c’est pareil ; le nourrisson se prend un bel eczéma que le médecin va s’appliquer à faire rentrer avec …un corticoïde qui va transformer l’eczéma en asthme (beaucoup plus grave) et tout cela à partir d’un enfant qui était en parfaite santé et qui avait simplement le tort d’essayer d’éliminer le poison avec lequel on le nourrit. Mais alors, qu’en est-il des bébés qui réagissent aussi au lait du sein de leur mère ? Peut-être leur faudrait-il changer de mère ( je veux dire de nourrice) ; car rappelez-vous que tout ce que la mère consomme passe dans le sein. Si la mère consomme des épinards son lait est aux épinards, des carottes, du lait à la carotte, et du lait de vache (pourri)… ! A noter que j’ai vu des bébés allergiques à tout produit laitier quel qu’il soit et qui ont parfaitement poussé sans problèmes avec des purées de légumes.

 

Les vaches à lait sont des vaches malades

La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait. Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu soudoyer les autorités sanitaires et politiques pour qu’elles laissent mettre sur le marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité. Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone de croissance se sont retrouvés avec des vaches qui produisaient 40 à 50 litres de lait par jour (auparavant, elles en donnaient au plus 14 litres). Il a fallu traficoter génétiquement un nouveau type de vaches, les Holstein, avec les pattes plus longues afin qu’elles ne se marchent pas sur les pis ; les pauvres bêtes ne pourraient pas suivre sur le plan alimentaire, même en broutant 24 h sur 24 si l’on ne les complémentait pas avec des farines.

A savoir qu’une vache normale vit 25 à 30 ans, et celles-là sont usées à la corde en…7 à 8 ans. Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de  nombreuses infections, si bien que l’on a dû utiliser des antibiotiques en quantité. Les taux d’antibiotiques dans le lait sont 100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limites autorisées. Aux USA, sur les 23 000 tonnes d’antibiotiques fabriqués chaque année, près de la moitié est utilisée pour le bétail. Il est hallucinant de constater qu’aux USA 80% des vaches souffrent de leucémie. Alors, comment le lait de ces vaches peut-il être sans danger pour l’homme ?

 

Le cancer du lait

Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance stimulait chez l’homme le développement de cancers lymphatiques, l’association des médecins américains, l’O.M.S et les autorités sanitaires ont préféré fermer les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des populations.

Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les USA. Ce type de cancer, rare jusqu’alors, tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes génitaux réunis. Les citoyens américains sont devenus, sans le savoir, des cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers qu’ils consomment.

 

Hormones de croissance

Cohen, « l’homme anti-lait », révèle ce qui nous attendait sinon : « Alors qu’aux USA, du temps de nos parents, une femme sur 20 était atteinte de cancer du sein, aujourd’hui une femme sur 3 est touchée ! Quand on pense aux milliers d’enfants souffrant de leucémie et traités par des chimiothérapies hypertoxiques, on a le coeur brisé devant tant de mépris de la santé publique. Tout bien pesé, la différence n’est pas si notable avec la France, une partie de ce lait aux hormones serait-il arrivé chez nous par l’intermédiaire de produits transformés ?

En cas de cancer, la première chose à supprimer TOTALEMENT, ce sont les produits laitiers, puisqu’ils sont bourrés d’hormones de croissance.

 

Anémies ou diabétiques à cause du lait

La cause la plus fréquente de l’anémie est un manque de fer. Or la consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce qui fait perdre beaucoup d’hémoglobine. Et par conséquent, on remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des enfants nourris au lait de vache, alors que ceux nourris au lait maternel n’en souffrent pas.

On a pu aussi lire dans le New England Journal of Medicine,dès juillet 1992 : « Des études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans l’apparition du diabète chez l’homme. Les patients diabétiques insulino-dépendants produisent des anticorps contre les protéines du lait qui participent au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas, centre de fabrication de l’insuline. Il s’agit d’une réaction auto-immune ».

 

Tous collés à la caséine

Près de 80 % des protéines du lait et du fromage sont constituées de caséine, qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles de bière. Essayez d’arracher une des ces étiquettes et vous verrez la force de cette colle ! On utilise aussi la caséine pour coller les meubles, et nos grands parents s’en servaient pour coller les papiers peints ! Pensez à ce que cette colle peut provoquer dans votre organisme.

Comme la caséine est une protéine étrangère, le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène/anticorps fait sécréter de l’histamine et engendre une intense production de mucus, voire de pus, et surtout d’inflammations (sinusites otites, bronchites, maladies en ite…).

De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart du temps le soulagement rapide de ces affections. Depuis des années, je préconise, pour nettoyer les colloïdes laitiers du système lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH (en pharmacie) – 1 ampoule au lever.

 

Et le calcium ?

Le calcium du lait se métabolise mal chez les adultes, aussi a-t-il tendance à se déposer d’une façon désordonnée.C’est ainsi que se développent des exostoses, des becs de perroquet, et même la maladie de Paget où le calcium de la colonne vertébrale migre vers l’aorte par un phénomène électrolytique.

Alors où donc trouver le précieux calcium ? Mais dans tous les légumes il y en a partout à condition qu’ils soient d’origine biologique ! Arrêtez de croire aveuglément ce que vous dit la télé et ce que votre médecin vous répète comme un perroquet.

 

Étude

Lisez cette étude réalisée le 29 octobre 2014 par des chercheurs suédois.

Publiée dans la revue médicale britannique « The BMJ » (voir ici), elle se base sur l’analyse de deux groupes de femmes questionnées sur leurs habitudes alimentaires et de vie dans le cadre d’une campagne de dépistage du cancer du sein. La première concernait 60.000 femmes de 39 à 74 ans, l’autre cohorte concernait un groupe de 45.000 hommes de 45 à 79 ans.

Les quantités de lait bu quotidiennement ont été quantifiées : entre moins d’un verre, un à deux verres, deux à trois verres et plus de trois verres. Les quantités de lait fermenté,comme le yaourt et de fromage, consommés ont également été prises en compte.

Résultats :

Les femmes qui consomment trois verres ou plus de lait par jour ont un risque relatif de décès « de 90% plus élevé » et un risque de fracture de la hanche « de 60% plus élevé » par rapport à celles qui boivent moins d’un verre par jour.

 

2 Comments

  • Kessi

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    L’article ma impressionner mais on peux remplacer le lait par quel aliment surtout pour les nourrisson . merci

    • guérir.fr

      Reply Reply

      Les préparations infantiles à base de lait d’amande (pour la minéralité), de lait de châtaigne (pour les sucres lents, les vitamines B, utile pour la flore intestinale de l’enfant). Plus l’enfant grandit, plus on peut alterner et utiliser par exemple la noisette, la coco.

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